-Pardon ?
-Au sous-sol de la salle des fêtes. Ils y sont tous. Chacun dans son cercueil. Ça nous a pris des journées et des nuits entières pour tout finir à temps.
Je me redresse, un peu écoeurée. L'idée est tentante et morbide à la fois. Mais je me rappelle les pantins désarticulés du Cyclope.
-Non, ça va aller, je réponds, les dents serrées.
Comme autrefois, Bénédicte m'embarrasse. J'aurais préféré être seule.
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