Mais au milieu de dessert, Virginie se met à pleurer. La bûche fond
tristement dans nos assiettes tandis qu'elle répète à quel point Thomas
lui manque, et combien c'est dur depuis le divorce.
Depuis ce
premier Noël, et même si les suivants se révèleront plus joyeux, j'ai
toujours l'impression, parfois nette, parfois fugace, que cette fête,
toute en lumière, paillettes et odeur de rôti, cache de pathétiques
souffrances prêtes à jaillir à la moindre fissure.
Ah ben je suis bien d'accord, là !
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